Saturday, 24 September 2016
Friday, 23 September 2016
Monday, 19 September 2016
Concert review: Blind Guardian & Grave Digger live in Quebec City (sept 17th 2016)
(french only)
Blind
Guardian a L’Impérial Bell a Québec (17 septembre 2016)
J’ai
eu la chance le 30 octobre dernier à Montréal au Théâtre Corona de rencontrer
Grave Digger qui venais à Montréal pour la première fois au Canada en 35 ans
d’existence du groupe, mais malheureusement je n’ai pas pu les couvrir en
spectacle suite à l’incendie de ma maison et des bureaux de Québec-Métal le
jour même. Alors je n’allais pas rater la chance cette fois-ci d’enfin les voir
en spectacle et de surcroît avec Blind Guardian comme tête d’affiche. C’est une
soirée complètement Allemande ce soir auquel nous avons droit et qui promet
énormément car l’Impérial Bell affiche complet. Malgré la faible la pluie,
une très grosse foule attende en ligne à l’extérieur que les portes ouvrent,
signe que le métal est vraiment en santé au Québec.
Les lumières s’éteigne a 20 :00 et déjà la foule s’anime fortement pour Grave
Digger, après une courte introduction sonore c’est avec Headbanging Man que le
groupe débute les hostilités. S’enchaine ensuite Dark of the Sun et la foule
complètement déjanté reçoit le groupe avec honneur ce qui semble surprendre
mais aussi faire plaisir au chanteur Chris Boltendahl. Le groupe pioche un peu
partout dans sa discographie mais aussi avec des nouveautés du dernier album
qu’est Return of the Reaper. Du côté de la guitare on a un Axel Ritt en très
grande forme qui nous offre des poses de rockstar et tout un spectacle à lui
seul, La mascotte officiel du groupe est naturellement derrière le clavier. Le
groupe offre même un hommage à Lemmy (Motorhead) en jouant la chanson Tattooed
Rider. Le moment culminant est venu avec les classique Excalibur mais surtout
avec Rebellion ou là, la foule c’est mise à chanter le refrain à tue-tête comme
si l’Impérial était prêt à exploser. Et comme le groupe fait depuis des lunes,
termine sa prestation avec la chanson Heavy Metal Breakdown.
On
peut aisément dire que Grave Digger a complètement conquis la ville de Québec
avec son Power Métal unique et foutrement heavy. Pour un groupe qui n’était
jamais venue à Québec, ils étaient quand même connus et attendus. Une
prestation de 10 chansons, pas assez à mon gout mais d’une qualité dont
plusieurs pourraient s’inspiré alors on peut dire mission accomplie pour Grave
Digger et espérons les revoir très bientôt en tête d’affiche au Canada.
Blind
Guardian monte sur scène a 21 :20 et moi qui croyais que la foule était
bruyante pendant la prestation de Grave Digger, non au contraire c’est une
foule qui hurle à nous défoncer les décibels qui accueille le groupe Allemand
qui débute sa prestation avec Ninth Wave suivi de Welcome. Hansi Kürsch (chant)
est tout sourire et annonce à la foule que Québec est la capitale Canadienne du
Heavy Métal ce qui allume encore plus la foule. Quand le chanteur annonce
Nightfall les cris de la foule sont dément. On sent immédiatement que Blind
Guardian est un groupe que Québec adore et vénère.
Plusieurs hits seront joués. Time, What is Time - Imaginations - I’m
Alive - A Past and Future Secret - Requiem - Mordred - Mourning Hall - Bright Eyes
- Another Holy War et pour terminer leur
prestation And the Story Ends. Mais comme si ce n’était pas assez, la bande à Hansi Kürsch
décide d’achever la foule en rappel avec les magnifiques chansons que sont
Majesty - Holy Grail - Bard’s Song et Mirror. Une scène complètement épurer et
sans artifice mais avec une musique hyper efficace et un son d’enfer que
Blind Guardian a conquis Québec, on voit que malgré cette longue tournée avec
Grave Digger et les festivals Européens, que Blind Guardian a su garder la
forme et comme à son habitude nous offrir une soirée parfaite avec des chansons
de qualité. Mon seul bémol de la soirée est dû au fait que je trouvais le
bassiste un peu trop en retrait et dans l’ombre mais bon déjà une soirée
parfaite, une foule qui chante sur les prestations de Grave Digger et de Blind
Guardian, que demander de plus. On peut aisément dire qu’en ce samedi soir on a
eu droit à une soirée parfait et heavy dont plusieurs s’en souviendrons pour un
long moment.
Plus de photos sur la page facebook de Québec-Métal:
Blind Guardian: https://www.facebook.com/252549814787919/photos/?tab=album&album_id=1194507147258843
Blind Guardian: http://www.blind-guardian.com/
Grave Digger: http://www.grave-digger.de/
District 7: https://www.facebook.com/district7prod/
Nuclear Blast Records: http://www.nuclearblast.com/en/label/
Napalm Records: https://shop.napalmrecords.com/
Quebec-Metal Facebook: https://www.facebook.com/Québec-Métal-252549814787919/
Chronique par Martine Otis
Photos par Alain Labonte
©Québec-Métal
Friday, 16 September 2016
CD Critics: Death Note Silence - Code of Silence (2016)
(french only)
Critique CD
Death Note
Silence – Code of Silence (2016)
Le groupe :
Ben
Garceau – Voix
Pete – Guitare
Phil Howard – Guitare
Alexis
Roberge – Basse
David
Duchemin – Batterie
Les chansons:
01 - Monster
02 - Blacklist
03 - Threat
04 - Frontline
05 - Code of Silence
06 - Prologue of a Murder
07 - Interlude
08 - Nothing Will Be the Same
09
- Closure
Death
Note Silence est un groupe de la belle région de la Mauricie, plus précisément
de Shawinigan et officie dans un mélange entre le Metalcore et le Deathcore. Le
groupe existe depuis 2013, très peu connu dans plusieurs contré du Québec,
aujourd’hui nous rectifions les faits en vous les présentant avec leur tout
premier album qu’est Code of Silence, que nous devons de préciser qu’il s’agit
ici d’un auto production ce qui est tout en leur honneur. Mais cessons de
parler et allons directement au fait, l’album en lui-même.
Le
tout débute par l’introduction Monster, un peu bizarre dans son ensemble en
tant qu’introduction car elle incorpore des sons de radio, un petit bout de
chanson et un côté un peu électro puis s’enchaine Blacklist, rythmique très
endiablé comme entrée en matière, blast beat, voix hautement percher. Ce que j’apprécie
beaucoup sur cette pièce est le fait que malgré sa rapidité, il y demeure un côté
très mélodique. J’aime particulièrement le mélange
entre la voix rude et criarde et les cœurs clairs, ce qui lui apporte une
certaine différente de ce qu’on voit souvent dans le core. Bon jeu des
guitares. Threat reste dans le même ligné, puissante rapide et brutal à la fois,
encore une fois y s’y dégage une excellente énergie mais cette fois grâce au
rythmique imposé par les guitares, on y retrouve encore une fois les cœurs mélodiques.
Frontline me surprend au départ à cause du piano, ce qui n’est pas usuel dans
le metalcore ou le deathcore mais qui a ma grande surprise se mari bien au son
heavy des guitares et de la rythmique de la chanson comme introduction. Ici le
rythme est plus ralenti et le côté mélodique est toujours aussi présent. Du côté
de la voix pas de surprise, puissante et hautement perché. Code of Silence qui
est la pièce titre de l’album est complètement déjanté et ultra heavy, sa beau être
un groupe qui officie dans le core mais on peut franchement y retrouver certain
éléments groove ou thrash dans cette chanson. Prologue for a Murder est
nettement du côté Metalcore, un peu à la Slipknot. Super bonne dynamique dans
la rythmique, c’est le genre de chanson qui peut être très rassembleur sur scène
et emmener la foule à sauter ici et là. Interlude est une courte pièce de deux
minutes qui nous offre une pause bien mérité après se déferlement de puissance
mais attention ça ne dure pas longtemps cette pause car Nothing Will Be The
Same viens nous ramener sur terre assez vite. Rythmique endiablé toujours
accompagné d’un certain aspect mélodique de la part de la guitare mais sans
pour autant perdre de sa puissance. Le tous se termine par la pièce Closure, drôle
de hasard mais original de terminer un album avec un tel titre. Si ce n’est de
la voix criarde on aura quasiment pu dire une chanson de pure groove métal. Ici
on a encore le droit à une chanson très bien ficeler qui se tiens. A quelque
moment le son est nettement plus lourd et la voix plus growl que ce qui nous a
été démontrer depuis le début de l’album.
Pour
ceux qui me connaisse savent bien que je ne suis pas un grand fan de ce style
mais je me dois d’avouer que j’ai aimé ici ce que Death Note Silence a fait. De
puissante guitares, des chansons vraiment bien construite, une énergie évidente
et un coté mélodique qui n’est pas à renié et agréable d’écoute. Code of
Silence est un excellent album qui mélange certain style autre que le core mais
dissimulé ici et là, ce qui apporte un plus au compte rendu final de l’album.
Je crois qu’on tient ici un certain potentiel, l’avenir le dira mais pour ceux
qui aime les rythme endiablée et soutenu, cet album est pour vous et pas nécessairement
pour les fans de core. Pour un auto production je vous dit chapeau les gars.
Ma
note 8/10
Death Note Silence: https://www.facebook.com/deathnotesilence/
Québec-Métal Facebook: https://www.facebook.com/Québec-Métal-252549814787919/
Critique Cd par Alain Labonte
©Québec-Métal
Concert Critics: Slayer live in Montréal (sept 13th 2016)
(francais uniquement)
Slayer au Metropolis à Montréal – 13 Sept
2016
Il est rare de voir qu’un mardi soir,
le devant du Metropolis de Montréal sois plein de métalleux qui attende qu’une
choses, une soirée avec une affiche de rêve. 50% du Big 4, ce qui veut dire
Anthrax et Slayer accompagner par un autre icone du thrash métal des années 80,
Death Angel. Une soirée qui affiche complète et qui promet énormément.
A 19 :10 Death Angel prend d’assaut
la grande scène du Metropolis avec Tuv/Evil Priest avec un son d’enfer. Comme
le groupe nous y as habituer, ils sont dynamiques, puissant et on ressent
fortement qu’ils ont encore la flamme de jouer ce merveilleux thrash. Malgré un
court temps de jeux, Death Angel a quand même eu le temps de nous offrir 5 pièces.
Par contre seul une seule chanson du dernier album en titre qu’est The Evil
Divide et c’est la chanson The Moth qui est arriver à la conclusion de leur
prestation. On aura eu le droit aussi a des pièces comme Claws is so Deep -
Thrown et Left for Dead.
C’est au tour de la bande à Scott Ian
de fouler les planches. Anthrax qui est un habituer du Québec, viens nous
offrir un thrash carrément différent du groupe précédent mais non moins
efficace. Fort d’un nouvel album qu’est For All Kings, un album qui ne plait
pas à tous mais qui a quand même un certain potentiel. A ma grande surprise le
groupe ose débuter sa prestation avec 2 chanson du nouvel album et de surcroit,
les deux premiers extraits de cet album. En effet You Gotta Believe et Monster
at the End, malgré leur côté un peu moins heavy à mon avis, je vous rappelle
que c’est toujours mon avis personnel, j’aurais peut-être aimer mieux que le
groupe débute avec un côté nettement plus thrash. Comme toujours Joey Belladonna
est en super forme et prend le contrôle de la scène. La paire de guitariste qu’est
Scott Ian et Jonathan Donais sont super efficace et se complète à merveille.
Que dire de l’énergie du bassiste Frank Bello qui en deviens contagieux et c’est
plaisant à le voir aller. Un peu plus cachée derrière ses fût, Charlie Benante
as été solide malgré ces récent problème a une main. Dans l’ensemble ce fut un très bonne prestation de la part d’Anthrax, ma seule déception et le nombre de
chanson jouer, uniquement 9 dont 2 reprise que sont Got the Time (Joe Jackson
cover) et Antisocial (Trust cover). Il serait bien un jour de voir Anthrax nous
offrir une prestation en tête d’affiche car ils ont tellement de succès qu’un
set si court est nettement insuffisant. Le tout se termine par la magnifique
chanson Indians.
Après une excellente chanson d’AC/DC
et d’une scène camouflé par une grande toile blanche, une trame sonore s’entend
et des images de croix et logo du groupe s’affiche. Dans un Metropolis plein a
craqué la foule se manifeste bruyamment et attende Slayer de pied ferme. Le
rideau tombe avec la chanson Repentless tiré du dernier album qui
porte le même titre et s’enchaine sans arrêt avec The Antichrist – Disciple et plus
encore. Gary Holt (Exodus) est en feu et démontre nettement avec un grand
sourire qu’il est fier d’y être et ce malgré une grande tournée des festival
Européen avec son autre groupe qu’est Exodus. Kerry King toujours aussi
puissant et malgré le sérieux qu’on lui connait, on réussit à voir à quelque
occasion un sourire. Derriere le kit de batterie Paul Bostaph est d’une
solidité sans faille et que dire de Tom Araya qui malgré qu’il n’headbang plus
comme dans le passer due à une opération au cou, demeure quand même très en
voix. On aura eu le droit à un vrai
best of du groupe avec des chansons comme Postmortem - Hate Worldwide - War
Ensemble - When the Stillness Comes - You Against You - Mandatory Suicide - Fight
T’ill Death - Dead Skin Mask - Chemical Warfare - Pride in Prejudice - Vices - Seasons
in the Abyss - Hell Awaits. Mais comme si ce n’était
pas assez, Slayer nous offre un rappel rempli de nostalgie avec les excellentes
chansons South of Heaven - Raining Blood - Black Magic et Angel of Death. Même
si les années passent et que les gars vieillissent, On peut dire qu’ils sont
encore en forme et à voir la setlist, le tout est confirmé. Slayer n’est pas l’un
des plus grand pour rien.
Une soirée fort réussie, un Metropolis
plein à craquer, un son d’enfer, 3 groupes d’une qualité incommensurable, tous
y étaient pour une soirée fort réussi que beaucoup de fans se souviendrons pour
très longtemps.
Plus de photos:
Death Angel: http://www.deathangel.us/
Anthrax: http://anthrax.com/
Slayer: http://www.slayer.net/
Evenko: http://www.evenko.ca/fr
Quebec-Metal Facebook: https://www.facebook.com/Québec-Métal-252549814787919/
Chronique par Martine Otis
Photos par Alain Labonte
©Québec-Métal
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